Dans mon dernier exposé, J’ai parlé de l’éveil des germes d’esprits à la conscience de leur existence.
De même que, dans le Spirituel, il existe des germes d’esprits en tant que dernier précipité, de même il existe aussi, à la fin de l’essentialité un précipité de germes d’êtres essentiels inconscients. Et de même que les germes d’esprits s’enfoncent dans la couche la plus délicate de la matière fine, de même les germes d’êtres essentiels s’enfoncent-ils dans la couche la plus délicate de la matière dense où, plus tard ils oeuvreront en qualité d’aides essentiels évolués.
Ces germes essentiels eux aussi reçoivent des enveloppes et, devenus ainsi plus pesants, ils s’enfoncent dans une couche un peu plus dense de la matière dense où, à leur tour, ils restent alors littéralement plantés.
Mais avant d’en arriver aux explications, Je dois apporter quelque chose dont J’ai certes déjà parlé succinctement une fois, mais dont J’ai jusqu’ici intentionnellement évité de donner une description plus précise; car si Je donnais trop de détails prématurément, cela pourrait facilement provoquer des mélanges troublants pour l’esprit humain.
J’ai une fois indiqué dans Mon Message que dans la Création, en dehors des choses ayant pris forme, circulent aussi des courants qui parcourent la Création.
Cependant, avec l’expression «courants» nous avons de nouveau la forme elle-même, car il en est réellement ainsi: ce sont des courants qui parcourent la Création, comme le font également les fleuves de la terre et aussi comme les courants aériens!
Et de même que ces deux différents genres de courants de matière dense parcourent la terre, de même avons-nous aussi deux genres de courants différents qui traversent la Création: les courants essentiels et les courants spirituels!
Il n’est rien dans la Création qui soit sans forme. Nous avons des formes individuelles et des formes collectives. Font partie des formes collectives les courants de même genre qui agissent à côté, ou mieux, avec les formes individuelles ou particulières. Chacun de ces courants a des tâches tout à fait déterminées correspondant exactement à leur genre. Nous pouvons dire aussi: provenant de leur genre.
C’est ainsi qu’un courant spirituel conduit entre autres les germes d’esprits, aussi longtemps que ceux-ci sont inconscients, sur le chemin qui les porte vers une possibilité d’évolution.
Sur ce chemin, trois choses agissent sur les germes d’esprits: la première est l’impulsion intérieure qui stimule et pousse le germe d’esprit vers la prise de conscience, la seconde est le flux du courant spirituel qui le porte, et la troisième est le genre semblable avec les esprits humains évoluant déjà dans la matière, genre qui l’attire.
À présent chez l’un ou l’autre d’entre vous va aussitôt surgir la question: mais comment était-ce à l’époque où encore aucun esprit humain en évolution n’agissait dans la matière, donc où l’attraction du genre semblable ne pouvait pas encore agir?
À cette époque où les premiers germes d’esprits s’approchèrent de cette partie cosmique, la matière n’était pas encore aussi dense qu’aujourd’hui, puisque c’est seulement plus tard que le vouloir humain se développant faussement a provoqué une densité et une pesanteur plus grandes, ce qui eut pour conséquence un éloignement plus considérable de la Lumière et entraîna un mouvement plus lent, plus retenu.
Étant donné la légèreté de la matière de l’époque, la propre impulsion du germe d’esprit et le fait d’être porté par le courant spirituel lui suffisaient pour atteindre le premier but de l’évolution. Et l’évolution ultérieure était elle-même plus facile parce que, pour la suite du chemin, une faible prise de conscience suffisait déjà à le stimuler pour lui permettre de nouveau d’aller un peu plus loin sur le chemin.
Tout cela est devenu beaucoup plus difficile aujourd’hui.
Je dois ici insérer de nouveau quelque chose. Le processus de descente des germes d’esprits se poursuit sans interruption pour la Création. Lorsque, précédemment, J’ai dit qu’une maturité tout à fait déterminée de la matière doit exister pour l’accueil des germes d’esprits et que, du fait de la maturité croissante de la matière, ceci ne peut plus se répéter, ceci ne concerne pas la Création entière mais uniquement des corps cosmiques isolés, comme par exemple la terre!
Sur celle-ci ne purent finalement venir que des âmes humaines plus anciennes, ayant déjà été incarnées auparavant et qui son obligées d’achever leur parcours dans les clôtures de cycles, mais non des germes d’esprits, donc des âmes qui n’étaient encore jamais venues dans la matière dense.
Toutefois, il y a toujours dans la Création des parties prêtes pour pouvoir accueillir des germes d’esprits qui à vrai dire sont déjà venus à la conscience de leur existence, mais qui doivent se développer jusqu’à l’auto-conscience uniquement par l’expérience vécue.
Tant que l’esprit humain n’a que la conscience d’être, il doit aussi conserver le nom de germe d’esprit, même si son enveloppe porte déjà la forme humaine. C’est seulement par l’évolution ultérieure vers l’auto-conscience qu’il cesse d’être un germe d’esprit humain et devient un esprit humain!
Il est nécessaire que cela soit dit ici, afin d’éviter les mauvaises interprétations ou les faux concepts. C’est pourquoi J’ai déjà mentionné, dans mon dernier exposé, qu’il existe un pas immense entre la conscience d’être et l’auto-conscience humaine, laquelle seule apporte la libre et consciente détermination de la volonté mais avec celle-ci aussi, la pleine responsabilité.
Progressant dans mes explications, Je dois toujours procéder à des distinctions toujours plus nettes dans les concepts, alors que jusqu’ici J’avais pu laisser maintes choses encore sous des notions d’ensemble. Il ne s’agit donc pas ici d’une sorte de jeu de mots tel que tant d’êtres humains d’intellect astucieux, dans leur paresse d’esprit, les tenaient prêts pour désigner quelques passages de Mon Message, montrant en fait suffisamment nettement leur totale ignorance et leur propre manque de compréhension pour le sérieux et la grandeur de la cause; il s’agit au contraire d’une pressante et inévitable nécessité si, d’une façon générale, l’être humain veut pénétrer dans le mouvement de la Création.
Là, il ne peut pas s’en sortir définitivement avec quelques expressions terrestres, mais il doit déjà accepter d’apprendre avec le temps à distinguer les limites toujours plus précises de chaque mot en particulier et à soupeser clairement son sens véritable.
C’est ainsi que nous devons procéder nous aussi, si nous voulons progresser et ne pas rester sur place ou laisser derrière nous un domaine inéclairci.
Ici aussi, c’est le mouvement qui doit exister et non une fixation rigide et obstinée! Lorsque J’explique tout d’abord quelque chose à grands traits, Je peux le nommer autrement que lorsque Je rentre dans les détails et que en lesquels Je dois faire de plus en plus de distinctions dans ce que Je pouvais d’abord prendre comme notion d’ensemble.
Et Je dois toujours commencer par donner des notions d’ensemble pour entrer plus tard dans les détails lorsque votre capacité de compréhension a pu se former, dans une certaine mesure, une claire image de la notion d’ensemble; sinon, devant l’immense étendue de la Création vous ne pourriez jamais parvenir à une compréhension. Vous perdriez bien vite le terrain solide du savoir véritable et vous tomberiez dans les confusions incohérentes et coutumières aux êtres humains qui distinguent les adhérents des nombreuses sectes et aussi des églises.
C’est pourquoi laissez discourir tranquillement de tels êtres humains qui ne font ainsi que témoigner de leur propre superficialité et de leur peur devant l’effort pour pénétrer plus avant, et suivez-moi joyeusement sur le chemin du savoir tel que Je vous le donne. Alors vous n’en retirerez que des avantages; car, ainsi, non seulement Je ne le rends pas plus facile pour l’esprit humain, mais en fait Je lui donne la possibilité même d’en saisir la grandeur, au moins dans ces parties avec lesquelles il est en relation et dont son action demeure dépendante.
De même que les courants spirituels portent les germes d’esprits, de même les courants essentiels entraînent-ils les germes d’êtres essentiels avec eux sur leurs voies. Il ne pourra être parlé en particulier de l’origine, des genres et des activités de tous ces courants, que plus tard. Pour commencer, prenons simplement aujourd’hui la notion que tous ces courants, semblables aux courants de l’air et des eaux de la terre, fécondent, conservent, purifient, bref qu’ils font progresser sous tous rapports.
Ces courants étaient du reste déjà connus en partie des êtres humains de jadis; par exemple, celui qu’on appelait «Styx» connu dans les traditions grecques en faisait partie.
Mais après ces digressions, revenons-en maintenant au but de notre exposé d’aujourd’hui.
Les germes d’êtres essentiels sont portés par les courants de genre essentiel. Malgré le genre fondamental essentiel de ces courants, il existe cependant de nombreux genres particuliers très différents et même variés, et c’est pourquoi, tout au long du parcours du courant principal initial qui traverse les différents plans, se séparent peu à peu des courants secondaires toujours plus nombreux, cherchant leur propre chemin; car, avec l’éloignement croissant de la Lumière, les genres propres individuels se séparent comme des bras secondaires qui en définitive ne renferment plus en eux, qu’un genre défini d’essentialité et qui, obéissant à la Loi, n’emportent plus avec eux que le même genre correspondant de germes d’êtres essentiels.
Ainsi de tels germes d’êtres essentiels vont-ils vers leurs lieux de destination, accomplissant la Loi de la Création. Ils sont séparés en ces germes qui sont étroitement liés avec les fleurs, à d’autres plantes, de même qu’à l’eau, l’air, la terre et aux pierres, au feu ou encore à beaucoup de choses particulières dans les matières.
Dans chaque plan particulier et même aussi dans chaque plan intermédiaire, se déposent toujours, au passage du courant, les êtres essentiels de genre semblable qui conviennent à ce plan, ce qui veut dire qu’ils demeurent là où ils doivent agir parce que c’est là qu’ils deviendront conscients. Tout cela s’accomplit de la façon la plus évidente et la plus simple dans l’activité des Lois, de sorte qu’il ne pourrait pas du tout en être autrement.
Dans chaque plan intermédiaire, des êtres essentiels de genres déterminés s’éveillent à la conscience d’une manière correspondant à leur force respective et là, ils commencent à agir en formant, protégeant, soignant.
Mais pour finir, il ne reste plus dans ces courants que des êtres qui ne peuvent accéder à la conscience que sur les astres des matières les plus denses. Et, en tant que dernier précipité de ceux-ci, il y a encore des germes d’êtres essentiels qui ne peuvent s’éveiller immédiatement, sans plus, dans la matière dense, mais qui ont besoin d’une évolution spéciale.
Pour le moment ce n’est de nouveau qu’une grande image que Je vous donne ainsi; le mieux pour vous est que vous l’accueilliez tout d’abord comme une carte géographique plane sur laquelle vous observez le cours des fleuves, des rivières et ruisseaux avec leurs nombreuses ramifications et leurs cours, qu’ils ont apparemment choisis eux-mêmes.
Alors seulement vous pourrez laisser l’image s’arrondir et vous représenter que des voies d’eau parcourent aussi l’intérieur et ne coulent pas seulement à la surface; et il en va de même pour les courants aériens. Ainsi, vous aurez enfin acquis en image une partie des événements de ce genre qui se déroulent dans la Création.
Si les êtres humains de la terre servaient correctement en vibrant dans la Volonté de Dieu, alors la terre en soi serait une reproduction harmonieuse de la Création, quoique grossière. C’est seulement à cause de la déformation des êtres humains que, jusqu’ici, elle n’a pas pu encore le devenir.
Maintenant nous allons enfin parler des germes d’êtres essentiels que nous avions pris comme objectif. Ceux qui dans leur évolution sont en proche parenté avec le germe d’esprit des êtres humains terrestres, ce sont d’abord les petits elfes des fleurs de la terre!
De votre point de vue, ceux-ci s’éveillent dans les calices des fleurs de la terre. Cependant, il n’en est pas tel que vous le pensez. Ils se trouvent certes dans les boutons des fleurs qui forment, jusqu’à leur éveil, leur enveloppe protectrice la plus dense, mais en même temps il y a encore autre chose.
En réalité, ils reposent douillettement allongés dans une couche fine et délicate de matière dense non visible pour vous terrestrement. Mais simultanément aussi, dans un bouton de fleur terrestre. La délicate couche de matière dense traverse non seulement le bouton de la fleur mais la terre entière et son entourage, d’une façon invisible pour vous.
Dans cette couche se déroule la véritable évolution des elfes des fleurs jusqu’à la prise de conscience, tandis que le bouton de fleur terrestre ne demeure que la protection extérieure la plus dense, bouton dont les elfes des fleurs sont assez indépendants malgré une certaine liaison.
Ils ne disparaissent pas non plus avec le flétrissement des fleurs, mais l’évolution se poursuit pour eux grâce aux soins secourables qu’ils donnent à de nouvelles fleurs de la terre et en partie aussi à de nouveaux enfants-elfes. Leur force s’accroît avec leur capacité.
Ainsi progressent-ils toujours plus vers un point qui leur permet, parvenus à leur pleine maturité, de s’élever jusqu’à un autre nouveau champ d’action; car il en va du germe d’être essentiel comme du germe d’esprit… tous deux sont soumis à une seuleLoi divine dont les effets sont uniformes: la Loi de l’évolution!
Au cours de leur développement, les petits elfes ne sont pas non plus livrés sans protection au danger que leur habitat puisse être, dès l’état de bouton, mangé par des animaux ou anéanti par une main humaine dépourvue d’égards comme cela en a l’apparence dans la matière dense.
Certes les fleurs sont soignées par des elfes évolués; toutefois dans chaque fleur il n’y a pas un enfant-elfe, mais seulement dans celles qui sont particulièrement protégées et inaccessibles aux dangers, pour autant que l’on puisse parler d’inaccessibilité. Aussi, à l’approche d’un danger, ils sont immédiatement portés au loin tant qu’ils ne sont pas encore devenus conscients.
Je mentionne les elfes des fleurs d’abord, parce qu’ils se sont constamment maintenus et se maintiennent encore dans les vibrations de la Volonté de Dieu. Ils ne peuvent pas être influencés par la volonté humaine mais ils tissent et respirent toujours dans les vibrations de la Lumière!
C’est dans ce fait objectif que réside le mystère que chaque fleur, même la plus simple, rayonne de beauté; car les elfes des fleurs se tiennent dans la Lumière! Par leur délicatesse, ils ont des formes féminines et parce qu’ils sont dans la Lumière, ils sont d’une féerique beauté.
Vous basant sur le Message, vous allez maintenant pouvoir en déduire vous-mêmes qu’il existe aussi des elfes qui ont des formes masculines, conformément à leur activité.
Ils sont plus denses, plus positifs parce qu’ils s’occupent d’un matériau plus dur. L’elfe de l’arbre par exemple porte la forme masculine.
La forme et la densité sont toujours selon l’activité.
Ainsi les gnomes qui s’occupent de la terre et des pierres, ont aussi la forme masculine. Ils sont plus denses, alors que les ondines de l’élément liquide ont des formes féminines.
Vous pouvez vous-mêmes en tirer d’autres conclusions et vous toucherez toujours juste si vous prenez le Message comme base dans lequel vous trouvez les Lois de la Création.
Ce qui est dit ici concerne les êtres essentiels évolués de votre entourage sur la terre! Tout ce qui est étroitement relié à la matière la plus dense ne peut réellement compter sur un succès rapidement visible que grâce à une activité positive et à une densité plus grande; et c’est pourquoi le masculin est toujours la partie positive exécutante, tournée vers le plus dense, donc le plus bas, tandis que le féminin, par contre, est la partie négative réceptive tournée vers le plus délicat, donc le plus haut!
Telle est la division de la Création selon la Volonté de Dieu, et ce n’est que lorsque l’être humain aussi s’y conformera et y vibrera qu’une véritable ascension se produira pour lui, une ascension à laquelle il ne peut pas parvenir autrement! Car alors, toute son activité vibrera dans la Croix de la Création, en laquelle le positif et le négatif s’équilibrent, agissant activement et recevant passivement!
Et toujours à nouveau c’est la femme humaine qui, aujourd’hui encore, n’assume pas son poste dans la Création!
Si vous méditez tranquillement sur tout cela, vous pouvez arriver à des conclusions insoupçonnées et à des explications qui, jusqu’ici, vous paraissaient presque insolubles. Cependant, votre intellect ne s’en accommodera pas si vite avec calme; mais au contraire il voudra toujours de nouveau semer le doute afin de vous embrouiller et vous maintenir ainsi sous l’emprise que, durant les siècles écoulés, il a pu vous imposer de façon presque incontestée.
Il y a certes beaucoup d’êtres humains chez qui s’élève cette question: Et les furies? Ne portent-elles pas elles aussi des formes féminines tout en étant d’un genre très positif dans leur activité?
Je vais donc à présent aborder ce sujet et vous expliquer:
Les furies sont de formes masculines et féminines, mais les deux, malgré leurs actions multiples, ont un seul but: la destruction!
Cependant, les furies ne sont pas des êtres essentiels! Rien de tel ne provient de la Volonté de la Lumière! Les furies sont uniquement les produits du mauvais vouloir humain. Elles font partie des démons qui se dissoudront dès que le vouloir humain sera meilleur et se tournera vers la Lumière!
Certes, elles sont très dangereuses et, au cours du Jugement, elles sont lâchées afin qu’elles s’abattent sur toute l’humanité. Mais elles peuvent nuire que là où elles peuvent s’accrocher, donc là où elles trouvent en l’être humain une affinité dans le mal ou la peur.
Ainsi les furies sont-elles contraintes de servir la Lumière; car elles évacuent les mauvais êtres humains de la terre et activent ainsi la grande purification. Lorsque celle-ci sera terminée, les furies n’auront plus de nourriture et devront donc disparaître d’elles-mêmes.
Or celui qui aura peur au cours du Jugement, celui-là manque de conviction dans la Parole de la Vérité et ainsi il manque aussi de confiance en la Toute-Puissance de Dieu et en Sa Justice qui se manifeste si souvent dans Son Amour secourable!
Un tel être humain sera alors à juste titre victime de sa tiédeur ou de sa paresse, et dans le Jugement il devra être saisi et anéanti par les furies!
En définitive, cela aussi est donc un événement simple qui, dans son caractère terrible, sera obligé de suivre les chemins de la Sainte Loi de Dieu!
Les furies déchaînées! Cela signifie qu’elles ne seront pas retenues, et que, pour un temps, il leur sera laissé entièrement libre cours.
Les êtres humains ne seront alors pas protégés, mais abandonnés à leur fureur.
Il est cependant tout à fait évident que les êtres humains qui portent en eux une juste conviction et qui sont reliés à la Lumière, ne pourront pas être attaqués parce qu’aucun écho ne peut être trouvé dans leur for intérieur auquel les furies pourraient s’accrocher pour les troubler.
Les êtres humains reliés à la Lumière seront, pendant cette explosion de rage, comme dans une enveloppe qui ne pourra être percée et contre laquelle tout mauvais vouloir en train d’attaquer se blessera lui-même. Cette enveloppe naît auto-activement aux heures du danger grâce à une ferme confiance en Dieu.
Toutefois, les êtres humains qui, dans leur présomption ou leur suffisance, s’imaginent être des croyants, mais ne sont en fait que des croyants en des églises et non des croyants en Dieu, intérieurement vivants, ces êtres seront ballottés de-ci de-là pareils à une feuille morte dans la tempête; ils devront disparaître dans le tourbillon, à moins qu’ils ne parviennent à temps à reconnaître à quel point ils ont été creux dans leur foi rigide et qu’ils s’efforcent avec zèle d’absorber en eux la vie issue de la Lumière de la Vérité, laquelle brille au-dessus de toutes tempêtes.
Demeurez vigilants et forts afin que les furies ne puissent pas trouver de point d’appui en vous! Devenez dans votre action, semblables aux nombreux petits aides essentiels qui, dans leur service fidèle, sont des modèles pour les êtres humains!